Créatures

Créatures

Créatures

Extérieur nuit ou intérieur jour

Théâtre d’ombres et de figures grand format

D’après l’Album jeunesse YòKaï de Manuel Marsol et Carmen Chica, traduit aux Éditions Les Fourmis Rouges sous le titre La Montagne

Tous publics – Création Été 2024
Comme un « rêve performatif » à la tombée de la nuit
  • Un spectacle en extérieur sur une place, façades, bâtisses, monuments ou en salle (noir complet)
  • Durée : 35 minutes, possibilité de jouer plusieurs fois dans la même soirée

Comme un rêve performatif

L’histoire

Un homme sort de son camion pour faire une petite pause. Il entre dans la forêt et commence alors pour lui un voyage merveilleux.

Réel et imaginaire se mêlent et l’on est ébloui de voir apparaître et disparaître un autre personnage facétieux qui accompagne avec tendresse le routier déboussolé. Son réveil charnel à la nature devient une sorte de communion intime entre le monde des humains, celui des Éléments et celui des esprits. Tout se déploie, le paysage devient personnage, le temps est suspendu…

Explorer la nature sauvage, cet endroit fabuleux…en soi et tout autour… Franchir une porte invisible…le monde change. Sentir une présence, se métamorphoser. Se perdre dans l’inconnu. Puis revenir. Quelque chose a changé. Bizarre !

 

Comme un « rêve performatif »

Créatures nous plonge ainsi dans le temps du mythe et celui du rêve. Il s’adresse autant aux enfants qu’aux adultes.
Dans cet espace-temps de l’entre-deux, rythmé par une bande-sonore originale, autant mystérieuse qu’entraînante.

Des créatures fabuleuses nées de la forêt ou d’un autre temps, végétaux et éléments primordiaux prennent place dans la cité.
Ces êtres de la métamorphose nous guident, s’organisent en rondes ou en procession à nos côtés. Ils nous interrogent sur notre relation au vivant et à la nature, autant à l’échelle intime que collective ou universelle. Ils viennent chuchoter à l’oreille des humains qu’ils sont là tout près, que leur monde invisible se mêle quotidiennement au nôtre. Cette mémoire ancienne cachée dans les fissures et sous la peau des murs fait surface à la première lueur ou au premier coup d’œil qui la révèle.
Ce temps suspendu est une invitation au point d’arrêt et à la métamorphose du regard que nous portons sur les lieux que nous habitons.
Une manière d’intégrer à nos vies le rêve comme source de résistance, de jeu
et d’évasion.

 

Déroulé

Avec Créatures, les montreurs d’ombres sont placés au coeur du dispositif. Ils déploient les images sous les yeux du public. Sur les parois, des mots et des figures apparaissent…
Les trois marionnettistes par leur manipulation en direct sur 3 rétroprojecteurs placés au sol, donnent peu à peu corps à un bestiaire imaginaire. Cette performance, qui mêle projections grands formats et musique, peut se dérouler sur une place, des façades de maisons, des bâtisses, des parois
naturelles ou en intérieur.

 

distribution

Création Collective du Théâtre de nuit

Mise en scène, scénographie et marionnettes : Aurélie Morin, Elise Gascoin, Aurélien Beylier

Création des figures et silhouettes d’ombres: Aurélie Morin et Elise Gascoin

Avec l’aide précieuse de : Oscar Bonnet, Amélie Zékri et Lauryne Lopès de Pina, compagnon.nes du GEIQ-Théâtre

Création musicale : Aurélien Beylier

Jeu

Artistes-marionnettistes : Aurélie Morin, Elise Gascoin, Aurélien Beylier

Régie générale et musique : Aurélien Beylier

Eléments techniques

Eléments techniques

Espace de jeu
En extérieur ou dans les rues, sur une place, façades ou bâtisses…ou en intérieur
Façade claire, 3 rétroprojecteurs au sol disposés dans un espace au sol de 10m x 10m

Équipe en tournée
Équipe de 3 personnes : 2 marionnettistes et 1 marionnettiste-régisseur

Jauge public
De 100 à 400 personnes

Deux fiches techniques sur demande (extérieur ou salle) – Lieu à étudier ensemble

Production

Production

Le Théâtre de nuit

Soutiens

Avec le soutien du Festival « Le Sourire du Crocodile » à Saillans (26)

Avec le soutien des compagnon.nes du GEIQ-Théâtre

Avec le soutien de la 3CPS – Communauté de Communes du Crestois et du Pays de Saillans – Cœur de Drôme

Accueil en résidence à la Fondation Robert Ardouvin – Village d’enfants

Le Théâtre de Nuit est en convention avec le MCC Drac Auvergne-Rhône-Alpes, le Conseil Régional Auvergne-Rhône-Alpes et bénéficie du soutien du Conseil Départemental de la Drôme et de la Communauté de Communes du Crestois et du Pays de Saillans-Coeur de Drôme

Cent forêts

Cent forêts

Cent forêts

Installation déambulatoire

Note d’ouverture

Conçue comme un environnement plastique et sonore éphémère, l’installation Cent forêts est constituée de matières simples : papiers, métaux, peaux, éléments ou fibres organiques. À mesure que ces matériaux sont mis en forme, ils se chargent symboliquement. La lumière les transforme ensuite pour créer des images instables ou fragiles.
Les gestes qui ont fait naître ces installations sont tout aussi importants que les installations elles-mêmes.

L’archaïsme de ces images convoque nos perceptions intimes ; les ombres nous plongent dans le monde sensible.

Le Théâtre de Nuit crée des spectacles de théâtre d’ombres et de figures, art vivant à la croisée du théâtre, des arts plastiques et du mouvement. Cent forêts est le premier volet d’une forme théâtrale déambulatoire.

Tyltyl et Myltyl, deux frère et sœur, sont les personnages aventureux de notre précédent spectacle; nous les avons invités à sortir de scène pour nous accompagner dans la traversée de Cent forêts.
Dans la première salle, « la salle noire », nous sommes dans une caverne où la vie reprend peu à peu son court après une sorte de cataclysme qui a failli rendre la terre infertile.

Dans la salle « blanche », des forêts imaginaires apparaissent dans la lumière. Les ombres de nos corps se mêlent à cet espace de contemplation.

Ici, nous ne sommes pas spectateurs, nous interagissons avec le monde dans lequel nous baignons ; nous sommes projetés en lui et il se projette en nous.

Aurélie Morin / Le Théâtre de Nuit

Nourrie d’explorations en extérieur, diurnes et nocturnes, au milieu des arbres, l’exposition Cent forêts revisite nos émotions premières : la peur, le désir, l’exaltation, l’effroi, l’émerveillement… Cent forêts met en scène une multitude de forêts miniatures qui, sous l’effet de la lumière se déforment, se meuvent. Elles nous transforment, nous déplacent vers une perception plus fine d’environnements à la fois expressifs et silencieux. Des personnages archétypaux s’y révèlent. Notre imaginaire rencontre celui des enfants. Un dialogue s’installe. Il nous remémore des temps anciens où les animaux, les humains, les végétaux, percevaient un langage commun. Nous déambulons parmi des êtres complices qui nous murmurent à l’oreille : sans forêts, votre ombre disparaîtrait et lentement, dans la brume, tout s’effacerait.

Mais nos ombres n’en finissent plus de grandir, de changer de couleur et d’entrer dans la danse rituelle de ces forêts habitée.

 

Plus d’infos  www.lux-valence.com/calendrier/cent-forets

Celle qui regarde le monde

Celle qui regarde le monde

Celle qui regarde le monde

d’Alexandra Badea (version courte) © L’Arche 2018
Déa est « comme le lierre qui prend racine d’un sol à l’autre, qui change de forme en fonction de ce qu’il rencontre sur son chemin. »
Alexandra Badea
TOUS PUBLICS DÈS 11 ANS
création 2022 lors de ONZE,
Biennale de la marionnette
et des formes manipulées

Une pièce qui nous parle de « l’état d’adolescence », cet état où l’on vogue dans un entre-deux : entre ce qui reste de l’enfance et ce qui se révèle de l’âge adulte…

Celle qui regarde le monde nous plonge de manière sensible dans l’histoire de Déa, jeune fille interrogée par le commissaire, qui raconte sa rencontre avec Enis.

 

L’histoire
Déa, jeune fille interrogée par un commissaire, raconte l’histoire qu’elle vient de traverser. Lors d’une fête, elle rencontre Enis, qui rêve d’aller en Angleterre. Enis est un jeune garçon en fuite ; son pays est en guerre. Déa veut le connaître. En découvrant peu à peu sa réalité et ses espoirs, elle décrypte en même temps les absurdités d’un système contradictoire. Déa se cherche, cherche à découvrir le monde ; elle est proche d’elle même ; c’est peut être cela qui l’a poussé à désobéir aux lois…
Celle qui regarde le monde convoque les matières et les figures du théâtre d’ombres pour montrer ce que perçoit Déa des normes aléatoires du système; pour donner corps aux espoirs et aux rêves des personnages, pour tenter de les aider à trouver une place dans le monde qui a du sens à leurs yeux.
La pièce Celle qui regarde le monde de Alexandra Badea est publiée dans son intégralité et représentée par L’ARCHE – éditeur & agence théâtrale. www.arche-editeur.com

Tout paysage bouge
pour que l’homme bouge avec lui…
voir c’est bouger avec tout…
c’est ouvrir tout son corps…
Tout ce que nous voyons change
si nous changeons de place…

LES YEUX, L’envahissement des yeux, Jean-Luc Parant

 

– Pendant mon enfance, je pouvais rester des heures dans mon lit à imaginer des choses.

–  Et maintenant ?

–  Maintenant ça s’est arrêté. J’ai très peur du silence.

Extraits d’un dialogue entre Déa et Enis

 

Une petite forme articulée autour d’un castelet

Le Théâtre de Nuit adapte librement Celle qui regarde le monde d’Alexandra Badea. Pour permettre au spectateur de vivre « plastiquement et physiquement » le texte, la pièce met au service des personnages crées par l’auteure un univers visuel rempli de sensations.

Le spectacle s’articule autour d’un castelet et mêle le théâtre d’ombres aux figures et au mouvement.
Il alterne des moments de poésie visuelle sans paroles et des moments de dialogues extraits de l’œuvre.

Les images naissent ainsi de l’imaginaire, des mémoires ou des espoirs du jeune garçon, de la jeune fille et du commissaire.

Déa a tenté d’aider Enis, qui fuit son pays en guerre, à traverser la frontière pour se rendre en Angleterre. Le commissaire prend le temps de l’écouter pour comprendre son acte. Nous comprenons au fil de son récit les mécanismes qui la poussent à désobéir à une loi.

Au moyen du théâtre d’ombres et de figures, les dialogues seront en partie traduits en images, en souvenirs, en paysages intérieurs. Ces paysages dialoguent ou se confondent avec les milieux environnants du dehors.

Deux dialogues se font écho : celui entre Déa et le commissaire et celui entre Déa et Enis. Comme des métaphores émergeant de leurs mots, les paysages d’ombres, de lumières, de silhouettes et de petites figures prennent vie dans un castelet sous les mains de deux marionnettistes-acteurs.

Notes de mise en scène

Nous portons un paysage à l’intérieur de nous et le transportons pour être à notre tour un morceau de paysage.

Lorsque nous quittons un milieu pour aller vers un autre milieu, qu’emportons-nous ? Qu’abandonnons nous ? Que garde ou efface notre souvenir ? Par l’expression du mouvement des ombres, de la manipulation des figures, des lumières et des matériaux utilisés, nous convoquons tout le paysage sensoriel et perceptif du spectateur et des marionettistes afin d’investir un nouveau regard sur les milieux / paysages qui nous entourent. Ceux-ci se confondent avec nos paysages intérieurs.

Ce que nous voyons, ce que nous entendons, tous nos sens perceptifs participent de notre manière d’être au paysage.

Nous ne regardons plus le paysage comme un « spectacle », nous vivons le paysage, émotionnellement, affectivement et composons le paysage au même titre que les autres éléments, mobiles ou immobiles, formels ou informels qui le composent.

distribution

Texte 
Celle qui regarde le monde d’Alexandra Badea – L’arche 2018

Jeu 
Christophe Pardon, Marion Leguevel

Conception, mise en scène, graphisme et ombres
Aurélie Morin

Conception lumière et mise en son
Aurélien Beylier

Fabrication objets, silhouettes et marionnettes
Élise Gascoin, Julia Kovacs, Aurélie Morin

Regard extérieur
Maud Hufnagel

Musique
Aurélien Beylier, Aurélie Morin

Réalisation du castelet
Bertrand Boulanger

Artistes complices dans la genèse du projet
Elise Gascoin et Chloé Attou

Costumes
Le Théâtre de nuit

Production et administration
Géraldine Kouzan et Stéphanie Roche

Soutiens

Co-Production

ONZE, biennale de la marionnette et des formes manipulées – Mayenne, Sarthe, Maine-et-Loire :

Le Service culturel de la communauté de communes du Bocage Mayennais
/ Le Tempo culturel à Craon / Le Théâtre Les 3 Chênes à Loiron / La saison culturelle des Coëvrons / Le Carré, Scène nationale / Centre d’art contemporain d’intérêt national de Château-Gontier
/ Le service culturel de la Ville d’Allonnes / Le Cargo à Segré / Le Kiosque, centre d’actionculturelle du Pays de Mayenne / Le Théâtre, scène conventionnéede Laval
/ La 3’e, saison culturelle de l’Ernée / La saison culturelle de la Communauté de communes du Mont des Avaloirs
/ Villages en scène, communauté de communes du Pays de Loire en Layon / Le service culturel de la Ville de Changé

LE LUX, scène nationale de Valence
Théâtre de Laval, Espace 600

SPEDIDAM – LA SPEDIDAM est une société de perception et de distribution qui gère les droits des artistes interprètes en matière d’enregistrement, de diffusion et de réutilisation des prestations enregistrées. www.spedidam.fr

ADAMI – L’ADAMI gère et fait progresser les droits des artistes-interprètes en France et dans le monde. Elle les soutiens également financièrement pour leurs projets de création et de diffusion. www.adami.fr  / La culture avec la copie privée

Avec le soutien

du lieu de résidence le THÉÂTRE DE DIE, scène conventionnée “Art en territoire”
Théâtre de Laval, Centre National de la Marionnette
Espace 600, Grenoble, scène conventionnée d’intérêt national « art, enfance, jeunesse »

Conventionnement

Le Théâtre de Nuit est en convention avec le MCC Drac Auvergne-Rhône-Alpes ; le Conseil Régional Auvergne-Rhône-Alpes

Soutien

Conseil Départemental de la Drôme et de la Communauté de Communes du Crestois et du Pays de Saillans — Coeur de Drôme.

 

Petites migrations

Petites migrations

Petites migrations

Dès 3 ans
Création 2003 1er spectacle de la compagnie,
Reprise 2023 Festival du Printemps, Saillans (26)

 

Sans l’ombre de notre corps, nous deviendrions invisibles,
et si petits que nous aurions disparu

Jean-Luc Parant

Synopsis

Petites Migrations s’ouvre et se déploie avec la grâce, la lenteur suave et la légèreté d’une fleur. Toute sa beauté tient à la subtilité de l’environnement sonore et à la délicatesse des ombres qui, jouant minutieusement de la lumière, s’évanouissent ou se métamorphosent sur le fil d’une histoire aléatoire. Petites Migrations fait appel à nos moyens premiers de voir, de sentir, d’entendre. La projection d’objets par la lumière nous ouvre la porte d’un monde fait d’images, de sons, de mouvements, de couleurs qui se mêlent et s’enchaînent, parfois de manière surprenante. Un monde infiniment sensible dans lequel le réel est transcendé au point de devenir palpable.

Ainsi dans Petites Migrations, le théâtre d’ombres nous permet d’approcher les liens qui nous unissent aux éléments primordiaux : l’eau, la terre, l’air, le feu ; aux différents règnes : animal, végétal, minéral… et donc à tout ce qui bien que mouvant, changeant, fonde notre existence.

L’histoire

« Un petit personnage vulnérable se laisse absorber par une larme de tristesse. Elle le conduit au cœur des paysages de son imagination… Quels chemins emprunte une goutte de larme pour rejoindre l’océan ? Que se passe-t-il en nous à l’instant où le vent s’arrête de souffler ? Qu’y a t-il sous la terre ? Peut-on atteindre le Soleil ? Les souffleurs d’oiseaux existent-ils réellement ? De ces lieux étranges d’expériences et de transformations, l’enfant, guérit de son chagrin, reviendra rempli d’allégresse et de confiance… ».

distribution
Mise en scène, scénographie et marionnettes Aurélie Morin
Avec Marionnettiste Aurélie Morin
Régie technique Aurélien Beylier, Messaoud Ferhat
Atelier du Théâtre du Fust François Morinière
Remerciements à Pascale Toniazzo

coproductions

Théâtre du Fust
Théâtre de la Marionnette de Paris

Photos © Nicolas Gasco

C’est un secret

C’est un secret

C’est un secret

Where the secrets things are

On cherche aussi, nous autres,
le grand secret

Henri Michaux

 

dès 6ans
création 2019  Charleville-Mézières
Reprise 2022 Comédie de Valence

Librement adapté de l’Oiseau bleu de Maurice Maeterlinck, C’est un secret allie la chorégraphie au théâtre d’ombres et de figures. La pièce part d’un univers mélancolique pour déterrer avec enthousiasme les fonctions de rêve et de vie cachées sous les apparences.

La mère de Tyltyl et Mytyl s’éloigne sans rien dire. Les deux frères et sœur s’élancent alors à la poursuite de l’oiseau bleu. Ils le cherchent partout ; dans le souvenir, la nuit, le cimetière, la jungle, le jardin des bonheurs et dans l’avenir, car ils ont la certitude qu’en le voyant, leur mère retrouvera le sourire. C’est la vieille fée qui leur a dit.

Mais l’oiseau bleu n’est peut être qu’un leurre, simplement là pour nous conduire au cœur d’un environnement expressif, animé et éphémère.

Sur une musique originale de Fantazio, trois personnages, tels les artisans d’un rêve éveillé, actionnent les installations d’ombres, les lumières mobiles, les entrelacs aux mouvements imprévisibles, les écrans baladeurs pour nous entraîner dans un monde organique où tout prend vie : éléments naturels, animaux, choses et entités s’émeuvent et composent une danse rythmée éveillant ainsi nos sens à des secrets indicibles.

L’oiseau bleu / Maurice Maeterlinck

L’univers que l’on connaît de Maeterlinck, sombre et mystérieux, trouve ici une issue à l’apparente naïveté, où la matière brute prend la parole et où les objets et les entités prennent vie.

Le conte philosophique et initiatique de Maeterlinck nous ouvre un accès vers des espaces transitoires : le temps du passé, le temps du futur, les âmes de la nature cachées sous les apparences, le temps du rêve. Des espaces où ces entités sont une partie de nous mêmes et où nous mêmes entrons dans la composition de ces entités…

Ainsi, la nature vivante, les formes multiples du monde alentour, les émotions, les perceptions, les idées et les figures intemporelles nous apparaissent sous la forme de figures imaginaires, symboliques ou oniriques nous inspirant pour réagir à notre monde, le ressentir, ici et maintenant.

Tyltyl et Mytyl vont se retrouver seuls et bâtir peu à peu un sentiment de confiance et de joie. Ils vont nous entraîner dans leur imaginaire sensible, nous suggérant une vision optimiste du monde, des humains et de leur finalité…

distribution

Texte L’0iseau bleu de Maurice Maeterlinck (extraits)
Conception, graphisme, mise en ombres, scénographie Aurélie Morin
Jeu et création Marion Leguevel, Aurélie Morin, Xavi Moreno-Berenguel,
Réalisation images animées Sophie Roze
Assistante Scénographie Élise Gascoin
Regard chorégraphique Chloé Attou, Federica Porello
Regard extérieur Arnaud Delicata
Objets, silhouettes Élise Gascoin, Julia Kovacks, Aurélie Morin
Construction Tables d’ombres David Frier
Costumes Le Théâtre de nuit
Composition musicale, voix Fantazio
Régie générale, création sonore Aurélien Beylier
Lumière Guillaume Tarnaud

Remerciements
À Marguerite Bordat pour son regard.

Éléments techniques

Espace de jeu
Ouverture : 9 m / Profondeur : 9 m
Hauteur sous perches : 5 m
Équipe en tournée
Artistes-interprètes 3 personnes + 2 régisseurs
Jauge public 250 scolaires 300 tous publics

soutien

Coproduction

TJP, Centre Dramatique National Strasbourg – Grand Est
Le Train Théâtre de Portes Les Valence
Festival International Jeune Public Momix de Kingersheim
Le Cube studio théâtre d’Hérisson
la Comédie de Valence Centre dramatique national Drôme-Ardèche

Accueil en résidence

L’esplanade du lac Centre culturel de Divonne-les-Bains
Les Aires – Théâtre de Die et du Diois Scène conventionnée Art en territoire

Le Théâtre de Nuit est en convention avec
le MCC Drac Auvergne-Rhône-Alpes,
le Conseil Régional Auvergne-Rhône-Alpes et bénéficie du soutien du
Conseil Départemental de la Drôme et de
la Communauté de Communes du Crestois et du Pays de Saillans-Coeur de Drôme